#1 – Perdus de vue – Edito

Marie MARÉCHAL, Marc MICHON, Eugénie CERTAIN, Eugène MICHON, Jacqueline MICHON + 2 femmes non identifiées

« Rien ne mérite vraiment d’être dit, hormis ce qui ne peut pas l’être ». La phrase est du Colonel, en préambule à ses mémoires. Joie ! Pour une fois dans ce périple généalogique, je ne me désole pas des lacunes de la tradition orale : tout est consigné dans ce gros volume que je m’apprête à relire pour y repérer une chronologie, des noms, des lieux, des alliances. Alors, avec la mise en ligne récente des archives de l’Indre, je devrais être en mesure de dessiner les branches manquantes, et peut-être en apprendre davantage sur ces personnages des photos que j’ai numérisées l’été dernier.

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#1 – Zoom : Alexandre CERTAIN

Alexandre CERTAIN
PÈRE Jacques CERTAIN (1809-1886)
MÈRE Marie Marthe Eugénie BEAUBIET (1819-1907)
NAISSANCE 28 mai 1842 – « La Guillerande », Chalais, Indre
MARIAGE 3 juillet 1866 – Béthines, Vienne
CONJOINT Louise Justine LECAMP (1840-1924)
DÉCÈS après 1925
PARENTÉ Grand-père maternel de Marc MICHON

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#1 – Dossier : Instituteur / Institutrice au XIXe siècle

Ecole Normale d'Instituteurs de Châteauroux

« Entre toutes les nécessités du temps présent, entre tous les problèmes, j’en choisirai un auquel je consacrerai tout ce que j’ai d’intelligence, tout ce que j’ai d’âme, de coeur, de puissance physique et morale, c’est le problème de l’éducation du peuple. »
Jules FERRY

Je vais relater ici le parcours d’instituteurs et d’institutrices au XIXe siècle, et effleurer l’histoire française de l’éducation et des écoles normales (vous pouvez consulter les liens en bas de cette page si vous souhaitez une immersion plus complète). J’ai essayé de m’en imprégner, afin d’être la plus fidèle possible au contexte social et historique dans lequel évoluaient les personnages de ces portraits que je dresse : il y a, dans l’arbre familial, un certain nombre d’instituteurs et au moins autant d’institutrices1 – issus ou non d’un milieu rural, formés ou pas dans les écoles normales qui ont fleuri sur le territoire à partir de la Révolution -, dont les trajectoires ont toutes à leur manière assez nettement influencé la destinée de nos familles.

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Notes :

  1. A noter que le métier s’est ouvert aux femmes à partir de 1881 et des lois Ferry, permettant aux premières institutrices laïques d’exercer à partir de 1885 environ – auparavant l’éducation des filles était presque exclusivement réservée à la noblesse ou à la haute bourgeoisie, et dispensée par des religieuses dans des couvents. Voilà pourquoi il n’y a pas beaucoup d’institutrices avant cette date.

#1 – Enquête : Paul BOURGEIX, globe-trotteur : New-York, La Colombie, Le Canal de Panama et San Francisco !

la Savoie

Pour clore cette première promenade dans les branches MICHON-MARÉCHAL, ponctuée de découvertes et d’étonnements1, je vous emmène faire un tour chez les BOURGEIX, nom de jeune fille de Adeline, mère de Marie MARÉCHAL.

A la clé, une énigme qui enivre le généalogiste – bien qu’elle soit source de frustrations diverses, à cause du syndrome de l’aiguille dans la botte de foin : à moins d’un spectaculaire coup du hasard, il semble illusoire de penser trouver toutes les réponses aux questions qu’elle soulève !

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Notes :

  1. A commencer par le développement d’un nombre insoupçonné de rameaux : qui aurait cru que Marc MICHON avait une quinzaine de cousins germains ?!